Ordinations presbytérales
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Mgr Olivier de Cagny évêque d’Évreux.
Il était jusqu’à présent recteur du Séminaire de Paris. Son ordination épiscopale sera célébrée le samedi 9 septembre, en la cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption à Évreux.
Samedi 9 septembre 2023
10h30
Ordination épiscopale
Cathédrale Notre-Dame de l’Assomption d’Évreux
Retransmis sur la chaine YouTube du diocèse
17h30
Vêpres solennelles
Cathédrale Notre-Dame de l’Assomption d’Évreux
Le Pape a nommé Mgr Olivier de Cagny évêque d’Évreux. Lire la suite »
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Chers amis,
Vous avez par le passé été adhérent de l’ACONor ou vous avez participé à un rassemblement œcuménique organisé par l’association. Et puis les évènement sanitaires et autres ont distendu les liens entre nous…
Espérant pouvoir bénéficier de votre soutien, croyez, chers amis, à nos fraternelles salutations.
Marc-Antoine Pottin et Yvonnic Bouche
Co-présidents de l’ACONor
z bulletin adhésion
Adhérez à l’ACONor Lire la suite »
Dans son discours, le Pape François a déclaré : «il est important de toujours regarder vers l’avenir. En cultivant dans nos cœurs une saine impatience et un ardent désir d’unité, nous devons, comme l’apôtre Paul, “nous pencher vers l’avenir” (cf. Ph 3,13) et nous demander continuellement: “Quanta est nobis via?”- Quel est le chemin qu’il nous reste à parcourir?» avant de rappeler la rencontre de leurs prédécesseurs, qui a eu lieu à Rome du 9 au 13 mai 1973.
Cette une rencontre, a-t-il rappelé, a marqué une étape historique dans les relations entre le Siège de Pierre et le Siège de Marc.
[1] https://www.vatican.va/content/paul-vi/en/speeches/1973/may/documents/hf_p-vi_spe_19730510_dichiarazione-comune.html
Rencontre de deux Papes Lire la suite »
Une fonction que ce dernier occupe depuis juin 2022 après treize années passées comme président du département des affaires ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, l’équivalent du «ministre des affaires étrangères» du patriarche Kirill.
Engagé dans le dialogue œcuménique, il a effectué de nombreuses visites au Vatican, ayant participé notamment en 2014 et 2015 aux synodes sur la famille
Sa nomination en Hongrie est le résultat d’une décision prise lors de la session du Saint-Synode de l’Église orthodoxe russe qu’il faut bien voir comme une sanction, suite à son désaccord de fond sur la manière dont le Patriarche Kirill de Moscou envisage la guerre en Ukraine et son soutient inconditionnel à Poutine.
Hilarion a également été relevé de ses fonctions de Métropolite de Volokolamsk, de membre permanent du Saint Synode de l’Église orthodoxe russe et de recteur de l’Institut des Hautes Etudes des Saints Cyrille et Méthode.
Rencontre du Pape François et du Métropolite Hilarion de Hongrie Lire la suite »
Cette bonne nouvelle résonne dans un monde déchiré, en guerre, en tensions.
En France, les entêtements et les erreurs d’un pouvoir politique déboussolé nous jettent tout droit dans les bras d’une extrême-droite en embuscade. Et faute de donner aux hôpitaux les moyens nécessaires à l’accompagnement de fin de vie, on se dispose à tuer sur demande.
Un véritable œcuménisme écologique est en train de naître et des solutions se mettent en place un peu partout dans le monde pour économiser les ressources communes. Même si le capitalisme sauvage continue a exploiter les plus pauvres et à vandaliser la planète au nom du profit immédiat.
Et il est présent dans cet « oikouménê » cette « terre habitée », notre terre, dont le mot œcuménisme tire son origine.
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Christ est ressuscité! En vérité il est ressuscité ! Lire la suite »
Mars 2023
La pitié sera le chagrin que nous cause un malheur dont nous sommes témoins et capable de perdre ou d’affliger une personne qui ne mérite pas d’en être atteinte, lorsque nous présumons qu’il peut nous atteindre nous-mêmes, ou quelqu’un des nôtres, et cela quand ce malheur parait être près de nous. En effet, il est évident que celui qui va être pris de pitié est dans un état d’esprit tel qu’il croira pouvoir éprouver quelque malheur, ou lui-même, ou dans la personne de quelqu’un des siens, et un malheur arrivé dans les conditions énoncées dans la définition, ou analogues, ou approchantes.
On aura de la pitié si l’on croit qu’il existe d’honnêtes gens ; car, si l’on n’a cette idée de personne, on trouve toujours que le malheur est mérité. Et, d’une manière générale, lorsqu’on sera disposé à se rappeler que la même calamité est tombée sur soi-même, ou sur les siens, ou encore à songer qu’elle peut nous atteindre, nous ou les nôtres.
Voilà pour les divers états d’esprit où l’on a de la pitié.
Quant à ce qui inspire ce sentiment, la définition donnée le montre avec évidence. Parmi les choses affligeantes et douloureuses, toutes celles qui amènent la destruction excitent la pitié, ainsi que toutes celles qui suppriment un bien, et celles dont la rencontre accidentelle est une cause de malheurs d’une grande gravité.
Aristote, Rhétorique, livre II, Chapitre VIII, 2-3 et 8
La communication de la part des évêques est non seulement déficiente dans la forme et le fond mais surtout parfaitement incompréhensible et inaudible. Et les tentatives récentes (2022) de « noyer le poisson » et de se dédouaner de Mgr de Moulin-Beaufort joignent l’odieux au ridicule.
Alors ?
Notre Eglise Catholique Romaine occidentale arrive au bout de son phénomène d’autodestruction. Manque de prêtres, oui, mais ce n’est qu’un symptôme. Il faut peut-être en passer par là pour que se pose la question principale : une Eglise pourquoi ? et ensuite une Eglise comment ?
Tout le problème est de savoir s’il sera suffisant.
Un signe d’espoir cependant qui montre qu’il est possible de bouger au moins localement : dans notre diocèse de Rouen, Mgr Dominique Lebrun à nommé Mme Carole de Villeroché, mariée et mère de famille, ancienne responsable de la catéchèse comme de Co-Modératrice de la Curie. Un nouveau ministère pour trois ans, pour travailler avec le Vicaire Général avec même pouvoir décisionnaire et même prérogatives que lui.
Un pas peut-être plus important qu’il n’y paraît….
L’assemblée des évêque à Lourdes fin mars va à l’encontre de l’ouverture désirée par un peuple laïc dont ils ne semblent pas percevoir les attentes, ou pire s’ils les perçoivent se sentent au mieux incapables d’y répondre et au pire refusent d’y répondre.
La synodalité consisterai selon eux a prendre leurs avis et à décider ensuite.
Est-ce que ça valait vraiment la peine de mobiliser et faire travailler dur une centaine de personnes pour renvoyer les décisions à d’hypothétiques “Comités Théodule” qui rendront leurs avis dans x années ? Un synode commun CEF/Laïcs tous les trois ans sur un sujet (choisi par qui ?) ne résoudra rien si les décisions ne sont pas prises en commun (dans tout ce qui n’est pas d’ordre dogmatique bien sur).
Hosanna ! Jésus reviens!
Georges
[1] Voir à ce sujet le livre de Josselin TRICOUT Des soutanes et des hommes PUF Paris 2021
Après l’assemblée des évêques catholiques à Lourdes : le chagrin et la pitié. Lire la suite »
Sommaire
Colloque œcuménique des Facultés de Théologie
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Au milieu du XXe siècle, la théologie œcuménique répondait au besoin d’un renouveau ecclésial tout en ayant en vue l’impératif de réconciliation dans une visée en partie missionnaire. Ses avancées étaient attendues, diffusées, commentées. Mais les pionniers de l’œcuménisme ont vite buté sur la difficulté de la mise en œuvre de leurs travaux.
Durcissement croissant ? Entre avancées et blocages, les dialogues interconfessionnels ont-ils répondu aux attentes ?
Certes, devenue une discipline à part entière, la théologie œcuménique a acquis une technicité propre, au risque d’être mal comprise par les non-spécialistes. La soupçonnant de construire des compromis hasardeux et relativistes, beaucoup s’en défient sans la comprendre véritablement. En quoi les publications œcuméniques intègrent-elles cette difficulté ? Comment préparent-elles une réception en bonne part ? Ou faut-il questionner pour cette raison les processus de leur élaboration ?
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Il pose la bonne question dès la conférence d’ouverture: dialogue œcuménique et vie des Eglises ne peuvent être séparés comme si l’œcuménisme était un appendice qui venait s’ajouter à une vie ecclésiale constituée comme un “en soi”
« Cette manière de poser le problème (Dialogue œcuménique ET vie des Eglises) est déjà prédéterminé par un contexte de division confessionnel et dénominationel. C’est le pluriel “LES” dans le titre. L’envisager ainsi constitue les Eglises comme des camps constitués qui ne peut considérer la diversité que comme ce qui vient entraver la plénitude de la commuions.
Une autre approche est possible. L’Eglise n’est pas pluralité de dénominations ou de confessions, elle est d’abord le corps du Christ avec son unité fondamentalement donnée. De même l’œcuménisme n’est pas spécifiquement une procédure de la théologie contemporaine. L’œcuménicité c’est d’abord la responsabilité missionnaire de vivre le corps du christ dans toute sa dimension théologique et anthropologique, et pas simplement une tache spécialisée et récente. »
« Trop souvent dans la rencontre des Eglises, on se retrouve avec une situation comparable à celle des espèces animales que leur spécificité aurait fait se développer dans des sens très différents, et qu’on essaierait de rendre fécondes ensemble, mais ces espèces devenues différentes seraient devenues mutuellement infécondes. Ce qui n’est pas le cas. En fait, il y a une fécondité, une interpénétration des différentes formes de chrétienté et de christianisme dans notre monde. De fait, que les institutions le veuillent ou non, nos différents christianismes sont mutuellement interféconds. Mais si on a le sentiment d’un manque de fécondation entre différentes communauté ecclésiales, c’est a mon sens beaucoup plus…/…parce que nos institution ecclésiales pratiquent à haute dose l’interdiction de procréation et installent des barrières préservatives entre leurs communauté, alors même qu’elles pouvaient être mutuellement fécondes. »
En fait, les Eglises ont du mal a situer dans leur dialogue les vrais lieux de leur différences. Après avoir tourné autour de la dogmatique, de l’éthique, de l’histoire, du registre biblique, on ne trouve pas le lieu fondamental de notre désunion et les méthodes de dialogue -qui on toutes leur mérite- n’épuisent pas le sujet.
La troisième conférence qui m’a interpelée est celle du:
Des dialogues différents
Réactions différenciées :
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Pour parvenir à l’unité, peut-être faudra-t-il que chacun fasse le deuil de sa propre vision de l’unité.
Geo
[1] Pasteur Luthérien (EPUdF). Docteur en Théologie, Professeur à l’Institut Protestant de Théologie (IPT) de Paris, assesseur protestant et chargé d’enseignement à l’Institut Supérieur d’Études Œcuméniques (ISEO) et chargé d’enseignement à la Faculté de droit canonique de l’ Institut Catholique de Paris (ICP)
Dialogue œcuménique et vie des Églises : les enjeux de la réception Lire la suite »
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