De l’Islam au « Catho style »
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En librairie, le 1er mars 2017
Quels désaccords, quelles différences entre catholiques et protestants ?
Pour fêter le cinq centième anniversaire de la Réforme, événement fondateur du protestantisme, deux personnalités du monde chrétien engagées dans le dialogue œcuménique « s’affrontent » et mettent en lumière les fondements historiques et théologiques de leur propre Église.
Avec courtoisie mais sans concession et avec beaucoup de pédagogie, ils discutent de thèmes variés et fondamentaux qui renvoient aussi bien à la foi qu’au dogme et à l’actualité. Un débat passionnant, plein de fougue et d’intelligence.
Jean-François Clavairoly est pasteur, président de la Fédération protestante de France depuis 2013. Il a publié en Paroles d’alliance, Dialogue entre un pasteur et un rabbin sur la société française avec Haïm Korsia, grand rabbin de France (François Bourin, 2011).
Michel Kubler, est prêtre, théologien, ancien rédacteur en chef de La Croix. Il dirige à Bucarest, le Centre œcuménique Saint Pierre – Saint André. Il a publié chez Bayard en 2014, Petit parcours de foi.
Loup Besmond de Senneville est journaliste au service religion du quotidien La Croix. Il a publié chez Bayard en 2014 Chercher Dieu et veiller sur l’homme. Repères pour une éthique chrétienne, avec Xavier Lacroix.
Format : 14,5 x 19 cm, 270 pages, 16,90 euros.
@Bayard_Ed
Protestants et Catholiques: ce qui nous sépare encore Lire la suite »
Dans le cadre de la préparation du forum sur le christianisme intérieur
qui aura lieu du 13 au 17 novembre 2017
Jean de Bernières fut un grand mystique normand dont plusieurs proches ont été canonisés (Jean Eudes, Mgr Laval, Marie de l’Incarnation) ou béatifiée (Mère Mectilde). Sa postérité a été importante en France, en Angleterre et au Québec. Mystique et homme de charité, fort apprécié par l’Eglise de son époque, ses écrits furent mis cependant à l’Index trente années après sa mort en 1689. L’Eglise du Grand Siècle avait changé, le rigorisme et le jansénisme l’emportaient sur la charité et la mystique. A la même époque de nombreux personnages connaissent le même sort, leurs écrits sont interdits. Le confesseur de St Vincent de Paul, totalement oublié Benoît de Canfel et le grand jésuite qu’apprécie le Pape Fançois, Jean-Joseph Surin, sont l’objet de la même condamnation post-mortem.
Ceux qui s’interroge sur le rapport entre Recherche de Dieu et engagement dans la Cité comprendront à travers la destinée de l’oeuvre de Bernières, le retour de la quête contemporaine de spiritualité et de fraternité.
Jourdaine de Bernières, soeur de Jean (fondatrice des Ursulines de Caen), fit écrire à partir de sa correspondance un ouvrage intitulé Chrétien intérieur, cet ouvrage imprimé à 30 000 exemplaires fut avant sa disparition, le livre de spiritualité le plus lu au XVIIème siècle .
Jean de Bernières (Caen 1602-1659) Lire la suite »
Utile , même aux simples fidèles qui veulent se sanctifier dans le monde, cette règle s’impose plus particulièrement aux membres des communautés et à ceux qui vivent dans le ministère. Pour se sanctifier, il faut bien utiliser son temps, surnaturaliser ses actions et suivre un certain programme de perfection. Or une règle de vie, bien concertée avec le directeur, nous procure ce triple avantage.
A ) Elle nous permet de mieux utiliser notre temps Comparons en effet la vie d’une personne qui suit une règle de vie , et celle d’une autre qui n’en a point.
a) Sans règlement on gaspille fatalement beaucoup de temps :
1) alors en effet il y a des hésitations sur ce qu’il y a de mieux à faire ; on met du temps à délibérer, à peser le pour et le contre, et, comme pour beaucoup de choses il n’y a pas de raison bien décisive, on peut demeurer incertain; et, la nature prenant le dessus, on est exposé à se laisser entrainer par la curiosité, le plaisir ou la vanité.
2) C’est alors qu’on néglige un certain nombre de devoirs : n’ayant ni prévu ni déterminé le moment et le lieu favorables à l’accomplissement de ces différents devoirs , on en omet quelques-uns, parce qu’on ne trouve plus le temps de les faire.
3) Ces négligences amènent de l’inconstance: tantôt on fait un effort vigoureux pour se ressaisir, et tantôt on se laisse aller à l’indolence naturelle, précisément parce qu’on a pas une règle fixe pour corriger les inconstances de notre nature.
b) Au contraire, avec un règlement bien tracé, on épargne beaucoup de temps :
1) Plus d’hésitations : on sait exactement ce qu’on a à faire, et à quel moment ; si l’horaire n’a pu être tracé d’une façon mathématique, on a posé des jalons, fixé des principes sur les exercices de piété, le travail, les récréations, etc .
2) Plus d’imprévu, ou du moins il y en a peu : car, même pour les circonstances un peu extraordinaires qui peuvent se présenter, on a déterminé quels exercices on peut abréger, et comment on peut y suppléer par d’autres pratiques; en tout cas, l’imprévu disparaissant, on est immédiatement ressaisi par la règle.
3) Plus d’inconstance, puisque le règlement vient nous solliciter à faire sans cesse ce qui nous est prescrit, et cela chaque jour et aux principales heures du jour. Ainsi se forme des habitudes qui donnent de la continuité à notre vie et assurent notre persévérance; nos jours sont des jours pleins, pleins de bonnes œuvres et de mérites.
B) Elle nous permet de surnaturaliser toutes nos actions
a) Toutes en effet se font par obéissance, et cette vertu ajoute son mérite spécial au mérite propre à chacun de nos actes C’est dans ce sens qu’on a dit que vivre de la règle, c’est vivre pour Dieu, puisque c’est accomplir sa sainte volonté. Il y a en outre, dans cette fidélité à la règle, une valeur éducatrice incontestable : au lieu du caprice et du désordre qui tendent à prévaloir dans une vie mal réglée, c’est la volonté et le devoir qui prennent le dessus, et par conséquent l’ordre et l’organisation : la volonté est soumise à Dieu, et les facultés inférieures s’assouplissent pour obéir à la volonté : c’est un retour progressif à l’état de justice originelle.
b) Il est alors facile d’avoir, en toutes ses actions des intentions surnaturelles : le seul fait de vaincre nos goûts et nos caprices met déjà de l’ordre dans notre vie, et oriente nos actions vers Dieu; mais de plus un bon règlement de vie prescrit un moment de recueillement avant chaque action principale , et nous suggère les intentions les plus surnaturelles pour les bien accomplir; chacune se trouve ainsi explicitement sanctifiée et devient un acte d’amour de Dieu. Qui dira le nombre de mérites accumulés ainsi chaque jour. !
C) Elle nous trace un programme de perfection.
a) C’est déjà un programme que celui que nous venons de décrire, et le suivre est une marche en avant vers la perfection : c’est la voie de conformité à la volonté de Dieu si prônée par les Saints.
b) Mais de plus il n’est pas de règle de vie complète qui n’indique les principales vertus à pratiquer en rapport avec la condition du pénitent et son état d’âme. Sans doute il y aura lieu de modifier parfois ce petit programme en raison des besoins nouveaux qui pourront se produire; mais tout ceci se fera d’accord avec le directeur et viendra s’insérer dans la règle de vie pour nous servir de guide.
Ad. TANQUEREY: Précis de Théologie Ascétique et Mystique, 7e éd, Desclée Paris
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Au-delà d’un légitime agacement dû sans doute au vocabulaire de l’époque, il me semble que cette petite musique catholique rejoint ce qui s’appelle dans les Eglises de la Réforme, une doctrine de la Sanctification au sens Weyslésien du terme.
Jean Ayrault
( Cf. aussi : Th. BOVET : L’art de trouver du Temps – Oberlin 1955.)
TANQUEREY: Utilité d’une Règle de Vie Lire la suite »
L’année Martin Luther est marquée par deux projets :
(répétée à 3 endroits, Alençon, Flers dans le Bocage, et Mortagne dans le Perche).
.Avec une historienne (qui fut professeur d’histoire à Paris), Marie-José Michel, qui situe la Réforme dans la crise/mutation vécue par l’Europe du XVIème ;
Elisabeth Gautier-Desvaux ( qui fut directrice du patrimoine, départemental et régional – maintenant présidente du conseil presbytéral de la paroisse protestante d’Alençon), qui évoque plus précisément l’émergence de la Réforme dans l’Orne. Passionnantes, toutes deux !
Un voyage – rencontre : Du désert Cévenol à Taizé.
Nous avons choisi d’aller à la rencontre de l’un des berceaux de la Réforme en France ;
PROGRAMME DU parcours
Commémoration des 500 ans de la Réforme dans le diocèse de Sées Lire la suite »
Cet événement est « le fruit de trois années de travail » mené ensemble par le Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens, la Faculté de théologie de la Grégorienne et l’Institut Johann-Adam-Möhler pour l’œcuménisme. Le cardinal Kurt Koch, président du Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens, interviendra sur « La Réforme et l’Église catholique ». Il y a deux jours, il soulignait l’« esprit œcuménique » de la commémoration dans L’Osservatore Romano.
Le symposium s’ouvrira dimanche 26 février avec la célébration solennelle commune des vêpres, suivie de la conférence du cardinal Koch. C’est le cardinal Gerhard Müller, préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi, qui conclura les quatre jours de réflexion, par une conférence « L’Église comme un lieu de justification ».
Catholiques et luthériens se sont engagés à travailler ensemble pour l’unité des chrétiens dans une déclaration commune signée par le pape François et par le président de la Fédération luthérienne mondiale, l’évêque Munib Younan, le 31 octobre 2016, en Suède.
500 ans de la Réforme: « Luther et les sacrements » à la Grégorienne Lire la suite »
Commémorer à Rouen les 500 ans de la Réforme Lire la suite »
Tandis que l’aurore peine à dissiper le brouillard, ce samedi 4 février 2017, une soixantaine de jeunes bravent prudemment le froid pour découvrir la ville. Curieux groupe que le leur : ils sont de 13 nationalités d’Afrique, d’Orient, d’Europe centrale et occidentale ; ils sont étudiants ou jeunes professionnels de toutes formations ; ils sont catholiques, luthériens, évangéliques, aux opinions diverses. Si beaucoup d’entre eux habitent en France, ils se retrouvent deux jours à Berlin… drôle d’idée à première vue.
Ils sont rassemblés au nom de la Fraternité Politique du Chemin Neuf, dernière-née de la Communauté. Leur désir commun de s’engager pour le bien commun, se place ici sous le sceau de l’unité, si nécessaire en politique. On entend parfois dire que le développement matériel en Europe ne s’est pas accompagné d’un développement spirituel, tel que les Pères de l’Europe l’espéraient. En se faisant attentive à l’Esprit, la jeune Fraternité essaie entre autres de répondre à cet enjeu. Il n’y avait pas de plan élaboré a priori, mais en reprenant ma plume pour essayer de comprendre ce qu’il s’est passé, j’observe comme un besoin de poser la main sur les plaies du corps meurtri du Christ.
Berlin, en effet, est sans doute la ville d’Europe qui porte le plus manifestement les cicatrices du dernier siècle : capitale du totalitarisme nazi, bombardée durant la guerre, partagée entre les Alliés, brutalement reconstruite, défigurée par le mur, la ville devient le symbole de la division est-ouest. Un véritable couloir de mort, plaie béante de béton abandonnée aux miradors et aux chiens errants, court entre les quartiers. En 1989, le mur tombe ; l’année suivante, l’Allemagne est réunifiée ; la ville blessée cicatrise ; au cœur de l’Europe, l’Allemagne et Berlin prospèrent. Près de trente ans plus tard, nous venons sur ces lieux à la manière d’un chemin de croix.
Notre première station est le Bundestag : ce bâtiment, où le Parlement est retourné en 1999 après qu’il a été agrandi sur le no man’s land de part et d’autre de la Spree, est un symbole de la réunification. Nous y rencontrons Wolfgang Thierse, un catholique qui a grandi dans la RDA avant de devenir président du Bundestag, l’une des plus hautes fonctions de l’état. Derrière la langue gutturale de nos cousins germains, nous découvrons un homme enflammé, communicatif dans ses gestes et son ton. Une chance pour nous de rencontrer un homme avec une stature politique, une vision et un engagement authentiques. L’occasion aussi de parler de la place de la foi chez les représentants politiques, plus facilement revendiquée en Allemagne qu’en France. Les députés chrétiens ont aussi des lieux de rencontre qui peuvent devenir des facilitateurs dans les conflits politiques. Notre « pèlerinage » nous mène à la chapelle des parlementaires, qui peut servir aux protestants comme aux catholiques, voire aux musulmans ou juifs. Lieu de calme et d’intériorité au cœur des arènes politiques, elle est décorée de panneaux qui évoquent avec la sobriété du sable et l’âpreté du clou la passion et la résurrection du Christ.
Ce premier témoignage de l’unité entre spiritualité et activité se prolonge avec la rencontre de Simone Wenzler dans une paroisse voisine. Cette femme travaille dans un ministère et nous témoigne de la condition chrétienne de mettre en tension ; tension que l’on pourrait nommer espérance, entre l’assurance que le Christ est déjà vainqueur et la permanence du péché ; tension qui se traduit dans nos choix quotidiens quant à l’argent, à la tolérance, à la réussite, à l’emploi du temps… mais voilà justement le temps, dans cette quête d’équilibre, de vivre la messe dominicale, accompagnée d’une démarche de réconciliation, afin de faire pénétrer le travail d’unité entre nous et dans nos cœurs. La soirée se terminera dans la joie et la bonne humeur pour profiter aussi de la ville vivante.
Dimanche, notre deuxième station répond à une autre plaie qui a déchiré l’Europe : le schisme de la Réforme, dont nous commémorons les 500 ans cette année. Cette division aussi a traversé l’Allemagne après que les thèses publiées par Luther à Wittemberg aient essaimé dans tout le pays. Depuis ce temps, les deux confessions cohabitent, parfois violemment, de manière plus constructive depuis plusieurs années. Dans cette Allemagne propice à l’œcuménisme, nous avons pu prendre part au culte dans une paroisse protestante. Cette paroisse est aussi immédiate voisine du mémorial du mur de Berlin, qui constitue notre troisième station. Ce lieu de mort que j’ai déjà décrit, nous avons pu y prier ; confier devant ce reste de mur tous les murs qui existent encore ; et entrer dans la bien-nommée église de la Réconciliation qui trompait jusqu’en 1985 l’aridité des abords du Mur. N’y tenant plus d’avoir ce clocher comme une épine dans le pied, le gouvernement l’avait finalement dynamitée, et une nouvelle église a été rebâtie depuis. Enfin, un pasteur nous racontait encore quel miracle avait été la chute du Mur, défait d’abord dans les cœurs grâce aux prières et aux manifestations pacifiques d’octobre 1989.
À l’heure où la politique est souvent signe de division, la Frat’ veut réunir, entre les opinions, les confessions, les nations, nos propres aspirations : c’est là toute la pertinence de lire spirituellement une ville telle que Berlin.
PIERRE DOHET – FOI N° 52
Frat politique: Berlin: chemins de réconciliation Lire la suite »
Nous fûmes tous très chaleureusement reçus dans des familles britanniques qui participent aux activités œcuméniques de Southwark.
Pendant ce week-end, nos amis anglicans recevaient également une délégation de quatorze Luthériens de Bergen (Norvège), afin, non seulement de renouveler le jumelage de vingt ans entre la paroisse norvégienne et Southwark, mais aussi de célébrer (avec quelques mois d’avance) les 500 ans de la publication par Luther de ses 95 Thèses, qui fondèrent le protestantisme.
Les échanges commencèrent lors d’une soirée où les « porte-paroles » de nos trois groupes présentèrent, non pas les différences entre nos trois obédiences comme initialement prévu, mais les points de convergence et les défis à relever en ce début de XXIe siècle. Ainsi, l’Evêque Jonathan Clark (de Croydon) pour les Anglicans, le Pasteur Jan Otto Myrseth pour les Luthériens, et le Père Christophe Potel pour les Catholiques, soulignèrent tous la complexité grandissante de leurs diocèses, confrontés à la multi-ethnicité des populations et à la précarité. Line (Rouen) présenta sa mission de Serviteur de Communauté, fonction qui plut beaucoup aux Anglais et aux Norvégiens.
Les interventions se poursuivirent par des échanges plus informels entre les quelques 40 participants présents dans le pub londonien privatisé pour l’occasion.
Le lendemain nous nous retrouvâmes tous à la messe à la Cathédrale de Southwark, avant d’entamer de nouvelles discussions, plus centrées sur la place des jeunes dans nos communautés, sur le rôle des bénévoles, et les caractéristiques des Eglises d’Etat, puisque tel est le statut de l’Eglise Anglicane et de l’Eglise Luthérienne norvégienne. De plus en plus de parents souhaitent que leurs enfants acquièrent des valeurs qu’eux-mêmes ont du mal à transmettre, et donc se tournent (non sans méfiance toutefois) vers l’Eglise pour assurer cette tâche. C’est là que les bénévoles ont un rôle intéressant à jouer ; le défi étant, pour les trois obédiences, de faire venir vers l’Eglise ceux qui n’osent entrer, par méconnaissance ou par crainte. Cependant, dans le cas de l’Eglise Luthérienne norvégienne, comme chaque enfant doit recevoir (c’est inscrit dans la loi depuis 1990) 315 heures d’éducation religieuse jusqu’à ses 18 ans, la quasi-totalité de la population est sensibilisée aux questions religieuses.
L’après-midi dominical s’est achevé avec une célébration à la Seamen’s Church St Olav de Londres, pour fêter les 500 ans de la Réforme. Nous avons tous apprécié le sens de l’accueil des Norvégiens pendant, et après cette messe, en présence de l’Evêque de Southwark, Christopher Chessun.
Après simplement deux jours passés à Southwark, nous avions tous l’impression d’avoir engrangé des dizaines de journées d’échanges, de partage, de moments amicaux, et regrettions de devoir repartir si vite. Assurément, des liens se sont noués, fondés sur le désir d’écouter, de communiquer, sur l’amitié, et sur la promesse de futures rencontres.
Article de Catherine Becasse pour Notre-Dame info
Source: Notre Dame info
Week End œcuménique à Londre Lire la suite »
Proposer un « pèlerinage de confiance » ! Du 28 décembre 2016 au 1er janvier 2017 a lieu la traditionnelle rencontre européenne organisée par la communauté de Taizé. Cette année, la rencontre se tient à Riga, en Lettonie, au bord de la mer Baltique. Dans cette ville de tradition luthérienne et où des liens profonds existent entre les différentes confessions chrétiennes, des dizaines de milliers de jeunes catholiques, orthodoxes et protestants vont prier et vivre un temps de partage, ensemble. « Nous aimerions que les jeunes découvrent une confiance », invite Frère Alois, Prieur de la communauté de Taizé, « découvrent que la confiance est possible, que ce n´est pas un rêve, la confiance entre les peuples et la confiance en eux-mêmes. Et c´est dans la foi, la confiance en Dieu que nous voudrions puiser ce nouvel élan ! » Un appel à ouvrir de nouveaux chemins de paix et à être, malgré les crises traversées, un signe d´espérance au cœur même de l´Europe.
source: KTO
Taizé : la rencontre européenne à Riga Lire la suite »
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